Un peu comme un cadeau avant l'arrivée du Père Noël !!!
Les Noursibouilles viennent d'emménager dans leur nouvelle maison toute douillette ...
Une demeure où vous pourrez les voir mieux et où l'on pourra les adopter en direct.
Alors venez leur faire une petite visite, ils seront ravis.
Je vous présente mes
miniatures textiles au 1/12e réalisées à la main.
Je suis passionnée par
tous les Arts du Fil (tricot, crochet, filet rebrodé, broderies variées,
tapisserie, frivolité, jours, etc…). J’aime redécouvrir des techniques
anciennes et oubliées ou adapter des techniques actuelles à la miniature.
Parce qu’il en faut
pour tous les goûts, je propose des diagrammes, des kits modulables, des kits
complets et des miniatures finies. Je propose également un certain nombre de
fournitures (soies, filet, dentelles anciennes,…). Toutes mes miniatures sont
des créations personnelles.
Pour plus d’informations consultez mon site
internet en cliquant sur la bannière
Dans la
précédente NewsLetter, je vous parlais de la joie de rencontrer au SIMP de
nouveaux adeptes dans le monde de la miniature. Cet intérêt pour la miniature
se poursuit au-delà du salon. Par l’intermédiaire de Christine VOIRIN, j’ai
rencontré une personne qui travaille sur la technologie de l'impression 3D et de son impact potentiel sur
les activités de maquettisme et d’objets miniatures.Voici un reportage de 4 minutes à ce sujet qui vous fera
mieux comprendre le procédé :
Cliquer sur la photo pour lancer le reportage
Ce travail est à l’état d’ébauche mais il
était intéressant pour cette personne de connaître quels pourrait
éventuellement être les besoins en miniature. Je l’ai orienté vers le besoin en
pièces de construction telles que moulures, plinthes et cimaises. Ce sera
sûrement révolutionnaire mais on y est pas encore !...mais cet échange a
été intéressant et fructueux.
D’autre part j’ai été en relation aussi
avec une personne travaillant pour TF1, qui prépare une émission sur les
collectionneurs, reste à savoir si la chaîne de télévision retiendra ce type de
collection. Cela représente du temps mais c’est toujours un grand plaisir
d’échanger sur une passion !
Après les
vacances, je me permets à nouveau d’encourager
les artisans qui sont inscrits à notre association mais qui n’ont pas encore
envoyé une ou deux photos avec quelques mots, leur adresse et leur lien s’ils
en ont un pour nous montrer leur travail.
Marguerite
Activité
proposée : Participation à la rédaction des prochaines News
Nous vous le disons à chaque parution de la News.Notre
association est principalement un moyen d’échange autour de notre passion
commune. C’est pourquoi nous avons besoin de vous pour participer à la
rédaction de notre NewsLetter.
Nous
vous proposons en plus cette fois-ci, une liste de thèmes précis d’articles
concernant les Musées de Miniatures :
- Musée de la Miniature et du Cinéma de Lyon, -Musée de mobilier miniature de Vendeuvre, - Musée de la Poupée et du Jouet Ancien de Wambrechies, -Musée de la Poupée de Paris, -Musée du Jouet de Poissy, -Musée de la Miniature de Meillant, -Musée des Commerces d’autrefois de Rochefort, -La France Ministure d’Elancourt, -Ancien musée de la miniature de Brantôme, -… ou tout autre musée ayant un rapport avec la
miniature.
Si vous avez visité un de ces musées, merci
d’écrire un article accompagné de photos et de nous l’envoyer à : contact@ajapm.fr.
Votre article sera publié lors d’une prochaine
News et viendra enrichir la rubrique « Musées » de notre Blog.
Nous vous proposons bien sur toujours d’écrire un article sur le sujet de
votre choix pour le publier dans une de nos prochaines « NewsLetter
» :
- sur
un musée de miniatures que vous aimez,
- sur
un artisan (français ou étranger),
- sur
une belle maison de poupées,
- sur
un salon ou une exposition que vous avez visité,
- sur
un livre de miniatures/jouets anciens,
- sur
un tutoriel que vous avez inventé (pas de copie sur Internet),
- sur
un site Internet que vous avez découvert
- ...
Activité proposée : Atelier
sur le thème « Noël » 15 et 16 Novembre 2013
Notre atelier sur le thème de Noël est complet.
Le principe est que chaque participante travaille sur son
propre projet, en respectant le thème, en se faisant aider par les autres
participantes.
Nous vous montrerons bientôt nos réalisations.
Activité proposée :
Week-end à Lyon au premier trimestre 2014
Nous proposons un Voyage à Lyon
sur un week-end en Mars ou Avril 2014, la date reste encore à définir, nous
vous la communiquons dès que possible. Nous partirons en train et passerons une
nuit sur place. Le programme sera la visite du musée « Miniatures et
Cinéma » et la visite du musée « Tissus et Arts Décoratifs » le
Samedi, ainsi que la visite guidée d’un quartier de la ville le Dimanche matin.
Nous avons déjà recueilli une
dizaine de personnes intéressées. Si vous voulez participer et que vous ne vous
êtes pas encore fait connaitre, envoyez nous un mail à :
Activité proposée :
PARIS-CREATION : 24 Novembre 2013
Nous tiendrons un stand pour « Paris Création » le
24 Novembre au Novotel porte de Bagnolet. Nous passerons une journée dans notre
monde miniature en espérant vous rencontrer nombreuses et nombreux.
Marguerite
Reportage : L’histoire
des Maisons de Poupées
Histoire
des maisons de poupée
Une maison de poupée est une maison fabriquée en modèle réduit, afin d'accueillir des poupées. Initialement destinées à servir de
jeu
pour les enfants, leur construction et leur collection
sont également devenues un passe-temps pour
certains adultes.
L'histoire des maisons de poupées modernes
remonte aux vitrines de miniatures du XVIe siècle
en Europe qui montraient des intérieurs
idéalisés. Des maisons de poupée plus petites, avec des intérieurs plus
réalistes, sont ensuite apparues en Europe au XVIIIe siècle.
Elles étaient fabriquées à la main, mais après la Révolution
industrielle et la Seconde Guerre
mondiale, des usines ont commencé à fabriquer en masse des maisons
de poupée plus standardisées et moins chères.
De nos jours, les maisons de poupées pour enfants
sont généralement à l'échelle 1:18, tandis que les maisons destinées aux
adultes sont à l'échelle 1:12.
Histoire
Les maisons miniatures contenant des meubles et
des habitants à leur taille existent depuis des milliers d'années. Les premiers
exemples connus remontent aux tombes égyptiennes de l'Ancien Empire datant de près de 5 000
ans. Des modèles réduits en bois de serviteurs, de meubles, de bateaux, de
bétail et d'animaux domestiques étaient placés dans les tombes, dans une
optique religieuse.
Une maison de poupée du XVIIe siècle
à Nuremberg
(Allemagne)
Les débuts des maisons de poupées européennes
remontent au XVIe siècle, sous la
forme de vitrines de miniatures représentant différentes pièces. Elles
montraient des intérieurs idéalisés, contenant des meubles et des accessoires
très détaillés. Ces vitrines, qui incluaient des détails architecturaux et
étaient remplies de miniatures, étaient uniquement destinées aux adultes. Elles
étaient interdites aux enfants, non pour leur sécurité mais pour ne pas abîmer
les vitrines. Ces vitrines étaient des trophées et des objets de collection,
possédés par les femmes riches de Hollande, d'Angleterre et d'Allemagne qui avaient les moyens de se les
offrir : entièrement meublées, elles valaient parfois le prix d'une vraie
maison.
Des maisons plus petites, avec des extérieurs
plus réalistes, comme la maison Tate (Tate House) apparurent en Europe
au XVIIIe siècle.
Les premières maisons de poupées européennes
étaient uniques, fabriquées sur commande par des artisans. Mais avec la Révolution
industrielle, des usines de production de masse de jouets
apparurent, et produisirent parmi d'autres jouets des maisons de poupées, ainsi
que les meubles et les miniatures destinées à les remplir. Parmi ces
entreprises, on peut citer en Allemagne Christian
Hacker, Moritz Gottschalk, Elastolin et Moritz Reichel ; en Angleterre, Siber & Fleming, Evans
& Cartwright et Lines Brothers (devenu par la suite Tri-ang). À la fin du XIXe siècle, des maisons de poupées furent
produites aux États-Unis par The
Bliss Manufacturing Company.
Jusqu'à la Première Guerre
mondiale, les maisons de poupée et les miniatures les plus
recherchées venaient d'Allemagne. Parmi les fabricants de miniatures notables
se trouvaient Märklin et Rock &
Garner. Leurs produits étaient vendus en Europe centrale, mais aussi exportés
vers la Grande-Bretagne
et l'Amérique. Cependant, la Première Guerre mondiale et la défaite allemande
ralentirent sérieusement la production et l'exportation, ce qui favorisa
l'émergence de fabricants dans d'autres pays.
Salon d'une maison de poupée du Maine (États-Unis)
En 1917, la compagnie
TynieToys à Providence, Rhode Island,
commença la fabrication de répliques d'anciennes maisons américaines et de
meubles à une échelle uniforme. D'autres entreprises américaines se créèrent au
début du XXe siècle, comme Roger
Williams Toys, Tootsietoy, Schoenhut et Wisconsin Toy Co. Le Japon
commença également à fabriquer des maisons de poupées, d'après les modèles
allemands.
Après la Seconde Guerre
mondiale, les maisons de poupées furent produites en quantités
beaucoup plus grandes, avec moins de détails. Dans les années 1950, les maisons de poupées du
commerce étaient en métal peint et remplies de meubles en plastique. Ces
maisons n'étaient pas chères, si bien qu'elles étaient abordables pour la
plupart des petites filles des pays développés qui ne subissaient pas de lourde
reconstruction suite à la guerre.
Construction
Ancienne maison de poupée anglaise
Les maisons de poupée des États-Unis ont généralement l'arrière
ouvert et une façade fermée et décorée, tandis que celles de Grande-Bretagne ont souvent une façade
montée sur des gonds qui s'ouvre pour accéder aux pièces.
Au cours du XXe siècle,
les maisons de poupée pour enfants ont été fabriquées dans divers matériaux,
comme le métal (généralement l'acier), la fibre, le
plastique et le bois. À l'exception de ceux de Lundby, les meubles à l'échelle
2/3 sont fabriqués le plus souvent en plastique.
Les maisons actuelles en kit ou toutes faites sont
souvent en contreplaqué ou en
panneau
de fibres à densité moyenne. Certaines maisons en kit utilisent du
contreplaqué plus fin et les éléments sont tenus ensemble par un système de
picots et de trous maintenus avec de la colle.
Ces maisons sont légères et faciles à monter, mais nécessitent d'être peintes
ou recouvertes d'un revêtement pour avoir l'air réalistes. D'autres kits sont
faits de contreplaqué ou de panneaux de fibres plus lourds, assemblés avec des
clous et de la colle.
Échelles standard
Des chaises miniatures à différentes échelles
Les anciennes maisons de poupée avaient rarement
des échelles uniformes, même entre les contenus d'une même maison. Des
entreprises ont créé des lignes complètes de meubles miniatures au XIXe siècle, mais ces produits ne
respectaient pas toujours une échelle stricte.
La plupart des maisons de poupées pour enfants du
XXe siècle et du XXIe siècle siècle sont à l'échelle 1:18
et sont fabriquées par des entreprises comme Lundby (en Suède), Renwal, Plasco, Marx, Petite
Princess, T. Cohn (aux États-Unis),
Caroline's Home, Barton, Dol-Toi et Triang (en Grande-Bretagne). Quelques fabricants
utilisent l'échelle 1:16.
Pour les maisons de poupée destinées aux adultes,
l'échelle la plus souvent utilisée est 1:12. Il existe également des échelles
plus petites, qui sont surtout utilisées aux États-Unis. Des miniatures à
l'échelle 1:24 étaient fabriquées pour les maisons de poupée Marx dans les années 1950, mais elles ne sont devenues
largement disponibles qu'en 2002 ; en même temps,
des échelles encore plus petites sont devenues populaires comme le 1:48, ou
même le 1:144, surnommé « maison de poupée pour maison de poupée ».
En Allemagne, au milieu du XXe siècle, l'échelle 1:10 s'est imposée
grâce au système métrique.
Les maisons de poupée produites actuellement en Allemagne sont plus proches du
1:10 que du 1:12.
La taille standard la plus grande pour une maison
de poupée est l'échelle 1:6, dite « Playscale », qui convient aux
poupées Barbie, Blythe et aux autres poupées de taille
équivalente.
Musées
La maison de poupée de Petronella Oortman par Jacob Appel, datant de
1686-1705
Il existe des musées consacrés aux maisons de poupée. Le
plus grand du genre est le Musée de la
Maison de Poupée (Puppenhausmuseum) de Bâle, en Suisse.
Le Rijksmuseum d’Amsterdam expose la maison de poupée de
l’épouse d’un riche marchand de soie d’Amsterdam, Petronella Oortman, datant de
1686-1705. Selon le musée, elle aurait dépensé plus de 20 000 florins
dans cette maison, ce qui représentait le prix d’une vraie maison sur les
canaux d’Amsterdam à l’époque. La maison présente une buanderie, une cuisine et des chambres très
détaillées.
La Tate House, une maison de poupée
anglaise de 1760, est exposée au Musée de
l'enfance de Londres.
Intérieur de la maison de poupée de la Reine Mary
Une des plus célèbres maisons de poupées
anglaises est celle de la Reine Mary,
fabriquée en 1924 par Sir Edwin Lutyens, et actuellement exposée au château de Windsor.
La maison contient tout un système de plomberie et de lumières fonctionnelles,
et contient des miniatures représentant les meubles les plus luxueux et les
plus modernes de l'époque. Des écrivains comme Sir Arthur Conan
Doyle et Rudyard Kipling
ont fabriqué pour cette maison des livres spéciaux, écrits et reliés à
l'échelle.
Le château d'Egeskov au Danemark abrite le Titania's Palace,
un château miniature de dix-huit pièces et salons construit par James Hicks
& Sons, des artisans irlandais, pour Sir Nevile Wilkinson entre 1907
et 1922.
À Tampere en Finlande, le musée Moomin (Muumilaakso)
contient une maison de poupée sur le thème des Moomins créés par Tove Jansson. La maison, créée par Tove
Jansson, Tuulikki Pietilä et Pentti Eistola, a été donnée à la ville de
Tampere. Le musée contient également plusieurs pièces miniatures contenant les
personnages de Moomin, fabriquées par Tuulikki Pietilä.
Le Musée de l'enfance situé au château de
Malahide à Dublin abrite Tara's Palace, une maison
de poupée de vingt-deux pièces fabriquées par Ron McDonnell en 1978
après avoir échoué à rapporter Titania's Palace en Irlande. La maison contient de précieuses
miniatures anciennes.
La maison de poupée de Colleen Moore, Fairy castle, est
exposée au Museum
of Science and Industry de Chicago depuis les années 1950.
Les soixante-huit pièces de maisons de poupée Thorne
Rooms, chacune sur un thème différent, ont été conçues par Narcissa Niblack
Thorne et leurs meubles ont été fabriqués par des artisans dans les années 1930 et 1940. Elles sont actuellement exposées dans
le Art Institute
of Chicago, le Phoenix Art Museum et le Knoxville Museum of Art.
Les poupées et leurs maisons,
monopole des petites filles? Ce n'était pas l'avis des riches Hollandaises et
Allemandes au 17e et au 18e siècles, dont les maisons de poupées, véritables
oeuvres d'art miniatures valant des fortunes, sont exposées à La Haye.
"Il s'agissait surtout d'un
hobby pour dames: il y avait beaucoup d'argent à dépenser, du temps à occuper
et c'était une activité sociale aussi", explique à l'AFP
Jet Pijzel-Dommisse, le conservateur de l'exposition XXSmall, présentée au
musée municipal de La Haye.
La mode des maisons de poupées
pour dames est née à Nuremberg (sud-est de l'Allemagne)
au début du 17e siècle et s'est propagée surtout outre-Rhin et aux Pays-Bas
voisins qui, durant le "siècle d'or", connaissent une prospérité
exceptionnelle, grâce notamment au commerce maritime.
Conçues comme des maisons en
coupe pouvant atteindre jusqu'à deux mètres de haut et de large, regorgeant de
véritables trésors, elles coûtaient parfois aussi cher qu'une vraie maison.
L'épouse d'un riche marchand de
soie d'Amsterdam, Petronella Oortman, aurait ainsi dépensé pour sa maison de
poupées plus de 20.000 florins de l'époque, "soit le prix d'une grande
maison le long d'un canal à Amsterdam", souligne Mme Pijzel-Dommisse.
Les murs de la maison de poupées
de Sara Rothé, mariée à un riche marchand d'Amstel, dans la banlieue
d'Amsterdam, exposée à La Haye, sont couverts de tableaux miniatures, de
quelques centimètres carrés, peints par de véritables artistes.
Dans la salle à manger, la table
est dressée avec des couverts et des plats en argent massif, le buffet déborde
de faïences, la bibliothèque de livres minuscules.
Un peu plus loin, dans une
maison voisine, une servante s'active en cuisine pendant que le maître de
maison se repose au salon, bercé par le tic-tac régulier d'une horloge. "A
l'époque, tout était produit par de véritables artisans et artistes qui
faisaient aussi les choses en taille réelle", explique le conservateur.
Au-delà du passe-temps agréable
permettant de dépenser l'argent superflu et du symbole d'un certain statut
social, les maisons de poupées jouaient un véritable rôle social et éducatif.
La république des
Provinces-Unies, connue pour sa liberté religieuse, abritait notamment de nombreux
calvinistes. Selon Mme Pijzel-Domisse, la religion protestante a influencé le
rôle éducatif des maisons de poupées.
"La vie à la maison était
beaucoup plus importante dans les pays protestants que dans les pays
catholiques, où l'église était au centre. Il était donc plus important dans les
pays protestants de montrer comment une bonne maison était tenue",
raconte-t-elle.
Amis et voisins venaient admirer
les maisons, souvent accompagnés de leurs enfants qui voyaient ainsi comment
les foyers devaient être gérés, ajoute-t-elle.
Après la révolution
industrielle, les maisons de poupées et leurs accessoires se sont peu à peu
standardisés. "C'est vrai qu'avant, l'échelle n'était pas toujours
parfaite mais personnellement, j'aime beaucoup, cela donne beaucoup de charme
aux maisons", assure Mme Pijzel-Dormisse.
Les maisons de poupées
continuent de fasciner. Plus de 86.000 visiteurs ont admiré celles exposées à
La Haye.
"C'est tellement beau et
tellement petit", s'enthousiasme Eva Mits, une Néerlandaise de 78 ans.
"On apprend tellement sur la vie d'autrefois, comment fonctionnaient les
maisons, à quoi ressemblaient les costumes et la vie des femmes",
continue-t-elle tout en s'extasiant devant une chaise en bois sculpté, haute
d'à peine deux centimètres.
Venez découvrir le
magazine « Bulle Miniature ». Le numéro 5 est paru sur le thème de
« La Broderie ». Ce magazine de près de 100 pages, regorge d’articles
très intéressants. Nous adressons un grand bravo à l’équipe de rédaction.
Nous nous apercevons
que nous n’avons pas cité « LE SITE » de la miniature
Française : MINATURAMA. Certainement que vous le connaissez toutes et
tous, mais en cas, nous vous invitons à aller découvrir les infos, les
tutoriaux, la liste des sites et des salons, les livres et bien sur le forum
consacré entièrement à notre passion.
Brigitte.
Galerie des Artisans :
Nous consacrons une page de notre Blog à nos
artisans adhérents. Si vous n’avez pas encore votre page ou bien si vous
souhaitez la mettre à jour, envoyez-nous quelques photos avec un texte sur vos
activités et un lien vers votre Blog/Site. Nous les déposerons sur le site de
l’AJAPM dans la rubrique "Galerie des Artisans".
Pensez à nous faire découvrir vos réalisations
(meubles, scènes miniatures …) en nous envoyant quelques photos avec
éventuellement vos commentaires accompagnés de votre Prénom et Département.
Nous les déposerons sur le site de l’AJAPM dans la rubrique "Galerie des
Membres".
"Dans
la peau de Hundertwasser" au Musée en Herbe de PARIS
Jusqu’au 5 Janvier 2014, La
nature reprend ses droits au Musée en Herbe, avec les créations picturales et
architecturales du grand peintre autrichien Friedensreich Hundertwasser.
Peintre, architecte, humaniste,
écologiste..., cet artiste inclassable ne se contentait pas de peindre et
de construire des maquettes, il a été l'architecte d'un grand nombre de bâtiments aussi
originaux les uns que les autres à travers le monde.
Le musée de Bâle est un des plus beaux musées d’Europe
consacré à la Miniature et aux Jouets Anciens. Le musée est ouvert tous les
jours de 10h à 18h (les horaires sont modifiés les jours fériés, consulter le
site Internet).
Le musée situé au cœur de la
vieille ville de Bâle abrite, avec plus de 2500 spécimens, la plus grande
collection d’ours en peluche anciens au monde. Plus de mille mètres carrés,
répartis sur quatre étages, offrent de vastes espaces d'exposition. Comme les
objets anciens, le vénérable bâtiment de 1867 a été entièrement restauré
suivant les techniques les plus modernes.
Les jouets exposés ont eux-mêmes
une vie interactive. Les grandes poupées animent les boutiques. Les ours, dans
leurs autos à pédales, font la course à qui mieux mieux. Il suffit d'appuyer
sur un bouton pour que tout un parc d'attraction se mette en mouvement. L'informatique
avancée veille à l'animation. High-tech et antiquités s'entendent à merveille.
Avec plus de 6000 objets au total, le Musée de Bâle est le plus grand de
toute l'Europe dans sa catégorie. Maisons de poupées et boutiques occupent
l‘essentiel des étages inférieurs du Musée. Beaucoup d'entre elles ont déjà un
long passé de jouets. D'autres en revanche ont été conçues dès le départ comme
de purs objets de collection. Leurs créateurs ont recherché la perfection et le
respect des mesures. Mais qu’il s'agisse de beaux jouets ou de véritables
petits chefs-d’œuvre, tous les objets ont en commun le soin apporté à leur
finition, l’originalité, l’inventivité, la beauté et l’amour fou du détail.
Nous étions fort peu nombreuses pour notre Assemblée
Générale, mais nous avons passé une excellente soirée à peaufiner nos futurs
projets. Nous avons partagé un repas confectionné par chacune d’entre nous et
nous avons terminé par une visite des plus belles maisons de l’Ouest Parisien,
de quoi nous donner des idées pour nos futurs projets miniatures …
J’ai oublié mon appareil photo pour cette AG, Oups…
Cette année encore, nous nous sommes régalées au SIMP. Nous
adressons un grand MERCI à Christine VOIRIN pour l’organisation de ce fameux
Salon. Nous avons pu rencontrer pas mal de nos adhérents et ce fut fort
sympathique. Nous avons également noué des contacts en vue de futurs projets ….
Voici enfin le jour tant attendu
de notre départ pour Rheda. A nous le salon 1zu12 !!! Pour la plupart
d’entre nous, c’est notre premier voyage en Allemagne. Françoise nous a préparé
à chacune une enveloppe avec notre nécessaire de voyage, billets de train,
adresse de l’hôtel, … une organisation au top je vous dis… Blandine sera notre
traductrice. Il nous manque Marie-Noëlle qui malheureusement a du renoncer au
déplacement en dernière minute.
Nous embarquons dans le Thalys
sous un temps maussade. Puis nous montons à bord d’un premier train de
banlieue, suivi d’un deuxième. Nous traversons des campagnes plutôt tristes et
nous arrivons dans la petite ville de Rheda qui se révèle très charmante et
plutôt cossue. L’hôtel est 5mn à pied de la gare mais nous ne le savons pas,
alors nous faisons la connaissance de notre taxi qui nous véhiculera tout le
week-end en 2 groupes.
La première journée est prévue
d’être consacrée aux stages pour cinq d’entre nous. Suzy et Laure ont
initialement prévue d’aller visiter les environs pendant ce temps. Finalement,
elles nous suivent quand même jusqu’au hall d’exposition, histoire de se
familiariser avec les lieux, et puis, puisqu’il reste 2 places vacantes dans
l’atelier d’Iris ARENTZ, elles restent avec nous.
Donc, Laure, Isabelle et Suzy
réalisent une « Cuisine de Grand-Mère » avec Iris ARENTZ. Elles se
débrouillent très bien malgré le peu de disponibilité d’Iris avec ses 10
stagiaires et le jonglage entre plusieurs langues.
Françoise et Blandine sont avec
Bianca SCHAAY pour réaliser une « Table de Magicien » recouverte de
grimoires, boule de cristal et autres ingrédients de potions.
C’est à la pause déjeuner que
nous découvrons la cuisine allemande avec une certaine déception. Regardez la
mine de Françoise devant son immense saucisse. Quand à moi, je n’ai osé prendre
que des légumes. Pour les jours suivants, c’est décidé, je vais forcer la dose
du petit déjeuner et sauter le repas de midi, mes copines ont été plus
courageuses.
Brigitte et moi passons la journée avec Helena REIJNEN qui
nous explique avec beaucoup de gentillesse les multiples étapes pour réaliser
une « Marie-Antoinette » vêtue d’une magnifique robe de reine bleue
pour ressembler au tableau « Marie-Antoinette à la rose » que vous
pouvez voir sur la photo. Pendant ce temps, le reste du groupe réalise une
magnifique « Dagmar », reine du Danemark parée de magnifiques bijoux.
Pour le soir, à quelques pas de notre hôtel,
nous avons trouvé un resto sympa, avec un personnel pas trop stressé, il
fallait être patient. Mais nous avons très bien mangé. Nous avons découvert la
boisson typique du pays (après la bière bien sur), le jus de pomme à l’eau
pétillante. Puis, pour ne pas prendre de risque, nous avons opté à l’unanimité
pour des escalopes viennoises accompagnées de pommes de terre et d’une petite
salade (si, si !!). Pour le dessert, les allemands ont marqué un point,
les glaces accompagnées de cerises chaudes ont remporté un grand succès
Notre hôtel s’est révélé tout neuf et très confortable. Le
buffet du petit déjeuner était un vrai régal. Les chambres spacieuses étaient
décorées de façons différentes et quelquefois inattendue… Voyez plutôt l’énorme
tête de cerf en peluche de la chambre de Laure … Fou rire garanti …
Nous arrivons un peu en avance au salon et nous avons le
loisir de découvrir des personnages pittoresques en attendant l’ouverture.
Le salon s’articule autour de 2 espaces gigantesques occupé
par 204 exposants, l’un réservé aux revendeurs dans lequel nous chinonsune multitude de petits objets très
abordables, et l’autre avec les artisans dans lequel nous avons le loisir
d’admirer des pièces magnifiques.
C’est dans le hall des artisans que nous retrouvons les
exposants Français qui ont fait le déplacement.
Ingeborg RIESSER, la présidente de notre ancienne
association de la Miniature Française
Muriel ROCHE et son univers de douceur et de
tendresse